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L'ANI a obtenu des résultats remarquables en matière de coopération internationale dans la prévention
et le contrôle de l'épidémie
Depuis le début de l'épidémie de COVID-19, l'Administration nationale de l'immigration (ANI) a pleinement joué son rôle, a communiqué étroitement avec les hauts fonctionnaires de ses homologues étrangers et a renforcé le partage d'informations liées à l'épidémie avec les pays voisins. En outre, elle s'est efforcée de promouvoir des efforts conjoints dans la gestion et le contrôle des ports et des zones frontalières, de fournir une assistance en fournitures de prévention de l'épidémie, et de faciliter le travail diplomatique lié à l'épidémie, dans le but de remporter la lutte contre l'importation de l'épidémie depuis l'étranger.
Au début de l'épidémie, l'ANI a rapidement réagi aux restrictions d'entrée excessives imposées par certains pays aux citoyens chinois et a pris l'initiative d'adresser des notes aux départements de l'immigration et de la défense des frontières de 50 pays, les informant des mesures de prévention prises par la Chine et leur formulant des propositions de travail. Xu Ganlu, vice-ministre de la Sécurité publique et directeur de l'ANI, a ensuite écrit aux chefs des départements de l'immigration et de la défense des frontières de Russie, du Kazakhstan, du Kirghizistan, du Tadjikistan, du Vietnam et d'autres pays voisins ainsi qu'au directeur du comité exécutif de la Structure régionale antiterroriste de l'Organisation de coopération de Shanghai (SCO), exprimant sa volonté de mener une coopération étroite et de déployer des efforts renforcés dans la prévention et le contrôle conjoints des épidémies.
Ularbek Sharsheev, chef du service national des gardes-frontières du Kirghizistan, et Darkhan Dilmanov, vice-président du Comité de sécurité nationale et chef du service des gardes-frontières du Kazakhstan, ont tous deux reconnu l'efficacité des mesures prises par la Chine pour lutter contre la COVID-19. Ils ont estimé que la Chine avait grandement freiné la propagation de l'épidémie en peu de temps et avait servi d'exemple au monde entier. Ils ont convenu que tant que les différentes parties rassembleraient leurs forces dans divers domaines et feraient preuve de solidarité, elles pourraient arrêter au plus vite la propagation de l'épidémie et restaurer la vitalité des relations économiques, commerciales et culturelles.
Dans le cadre des obligations internationales, l'ANI a combattu l'épidémie par la solidarité et la coopération. En s'appuyant sur le mécanisme de liaison frontalière à trois niveaux, elle a coordonné et promu la mise en place d'un mécanisme de notification d'informations liées à l'épidémie, a maintenu une communication quotidienne avec la Corée du Nord, le Kazakhstan, le Kirghizistan, le Tadjikistan, le Pakistan et le Népal, une communication en temps réel avec le Laos et le Myanmar et une communication régulière avec la Mongolie, la Russie et le Vietnam en termes de développement de l'épidémie dans les zones frontalières, de politiques concernant les contrôles aux frontières, de mesures de prévention et de contrôle de l'épidémie, ainsi que de données personnelles dans les comtés (villes) frontaliers des deux côtés et des données de déplacement des personnes à haut risque.
Dans sa lettre adressée à la partie chinoise, Vadim Barchuk, directeur adjoint du comité exécutif de la Structure régionale antiterroriste de la SCO, a écrit que l'ANI avait rendu un jugement opportun sur la situation et avancé une série de suggestions pragmatiques pour la coopération en matière d'application de la loi dans les zones frontalières, y compris la notification d'informations liées à l'épidémie et la sauvegarde de la sécurité et de la stabilité des frontières, et qu'elle mettrait certainement en commun les forces des différents pays dans la lutte contre l'épidémie.
Sergelen Ts, directeur général de l'Autorité générale pour la protection des frontières du ministère de la Justice et des Affaires intérieures de la Mongolie, a déclaré que les services de l'immigration et de la défense des frontières de Mongolie et de Chine avaient renforcé en temps opportun la coopération entre les représentants des frontières à tous les niveaux, échangé des informations sur une base régulière, et consacré leurs efforts à la prévention de la propagation transfrontalière de l'épidémie. Très opportun et conforme à la situation actuelle, le mécanisme conjoint de prévention et de contrôle de l'épidémie sino-mongol jouera un rôle clé dans le renforcement de la coopération en matière de prévention et de contrôle de l'épidémie et dans la réponse conjointe à l'épidémie dans divers domaines des deux pays.
Après le déclenchement de l'épidémie, l'ANI a résolument mis en œuvre le déploiement global du Comité central du PCC et du Conseil des affaires de l'État pour prévenir l'importation de l'épidémie depuis l'étranger et a adopté des mesures énergiques pour promouvoir la coopération dans la lutte contre l'épidémie et l'application de la loi dans les zones frontalières. Des patrouilles, des forces de l'ordre et des exercices conjoints ont été menés régulièrement sur les frontières avec le Laos, le Vietnam, le Myanmar et le Népal, pour renforcer ensemble la patrouille et le contrôle des raccourcis et des cols de montagne sujettes aux activités d'entrée et de sortie clandestines. Des patrouilles frontalières intensifiées ont été mises en place grâce à la coordination avec la Mongolie et la Russie, tandis que les frontières avec le Kazakhstan ont été fermées et que ce dernier a interdit les activités dans les zones frontalières. Des mesures de contrôle dans des circonstances particulières ont été prises au Pakistan, et les points de contrôle aux frontières et les forces de police ont été multipliés au Vietnam et au Népal. Des mesures ont été mises en place pour renforcer de manière globale la gestion et le contrôle social dans les zones frontalières, réprimer sévèrement les activités illégales et criminelles transfrontalières telles que l'entrée et la sortie clandestines, la contrebande, le trafic de drogue, et bloquer résolument les canaux de transmission transfrontalière de l'épidémie.
Dans sa lettre de réponse, Vladimir Kulishov, premier directeur adjoint du Service fédéral de sécurité de Russie et chef des gardes-frontières, a déclaré que la Russie soutenait pleinement les propositions de la Chine concernant l'amélioration de la coordination, le renforcement de la notification d'informations et la mise en place d'une gestion et contrôle conjoints, afin d'assurer la sécurité et le bien-être des populations des deux pays et arrêter la transmission transfrontalière de l'épidémie.
Hoàng Xuân Chiên, vice-ministre de la Défense et ancien commandant des gardes-frontières du Vietnam, a déclaré que conformément au consensus conclu par les deux parties, le Vietnam avait renforcé ses forces dans les sentiers et les passages ouverts le long les zones frontalières, avait mis en place des groupes de travail et des points de contrôle pour effectuer des tâches 24 heures sur 24, et qu'il continuerait à renforcer la coordination, et à mener efficacement des patrouilles et des mesures répressives, afin de prévenir conjointement la transmission transfrontalière de l'épidémie.
Soutenant la vision d'une communauté de destin pour l'humanité, l'ANI assiste activement les départements de l'administration des frontières des pays voisins pour lutter contre l'épidémie, et prend l'initiative de leur offrir un soutien avec des fournitures de prévention de l'épidémie, des formations en matière de sécurité, et des conseils sur place. Jusqu'à présent, l'ANI a fourni aux départements de la défense des frontières des pays voisins des fournitures anti-pandémiques et médicales d'une valeur de plus de 3 millions de yuans, qui comprennent des kits de détection COVID-19, des combinaisons de protection, des masques médicaux, des gants chirurgicaux, ainsi que plus de 1 100 exemplaires du guide de sécurité pour les agents chargés du maintien de l'ordre et en service, et du matériel vidéo sur la riposte à l'épidémie.
Rajabali Rahmonali, premier vice-président du Comité d'État pour la sécurité nationale du Tadjikistan et commandant des gardes-frontières, a exprimé sa gratitude pour le soutien et l'assistance opportuns de la partie chinoise pendant la phase la plus difficile du Tadjikistan lorsque l'épidémie s'y est déclarée et a estimé que les actions de la Chine démontraient son sens des responsabilités en tant que grande puissance mondiale.
Le commandant adjoint des gardes-frontières de quatre provinces du nord du Vietnam, Nguyen Van Thai, le directeur général du Ministère de la sécurité publique du Laos, Ji Chanthavongsa, le directeur du bureau d'immigration de l'État de Kachin du Myanmar, U Sop Paing Myint, le chef du Département des affaires des frontières du Népal, Harish Panta, et d'autres hauts responsables des pays voisins ont tous convenu qu'en plus de ses propres mesures de prévention et de contrôle prises contre l'épidémie, la Chine avait pris l'initiative d'assumer des responsabilités internationales, de partager son expérience en matière de réponse contre l'épidémie, de fournir une assistance bénévole, et de réchauffer le monde avec son " comportement réconfortant ", révélant ainsi l'importance mondiale de la vision d'une communauté de destin pour l'humanité. L'aide désintéressée fournie par les autorités chinoises de l'immigration ayant renforcé leur confiance dans leur combat contre l'épidémie, ils se tiendront aux côtés des agents de l'ordre public chinois pour endiguer l'épidémie.
Dans le cadre du mécanisme conjoint de prévention et de contrôle en réponse à la COVID-19 mis en place par le Conseil des Affaires d'État, l'ANI apporte un soutien actif à l'effort diplomatique global du pays. Elle a émis des propositions sur la gestion de l'immigration lors d'événements diplomatiques multilatéraux auxquels ont participé les dirigeants nationaux chinois, notamment le Sommet spécial des dirigeants du G20 concernant la réponse à l'épidémie de COVID-19, le Sommet spécial de l'ASEAN+3 sur la COVID-19, et le Sommet extraordinaire Chine-Afrique sur la solidarité contre la COVID-19. Entre-temps, elle a notifié à la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique les mesures et résultats de travail pertinents, envoyé du personnel pour participer à des consultations conjointes interministérielles sur la COVID-19 avec des homologues d'autres pays, renforcé les contacts quotidiens avec les ambassades des pays voisins en Chine, maintenu la communication avec des organisations internationales en Chine telles que l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, et signalé en temps opportun les mesures qu'elle avait prises pour renforcer la prévention et le contrôle de l'épidémie et faciliter la reprise du travail et de la production. Dans sa communication et sa coordination externes, l'ANI prend l'initiative de mettre en pratique les pensées diplomatiques de Xi Jinping, prône vigoureusement le multilatéralisme et la coopération internationale, joue un rôle actif pour accroître la confiance, dissiper les doutes et approfondir la coopération, et contribue efficacement à l'effort diplomatique global de la Chine.
Giuseppe Crocetti, chef de mission de l'OIM en Chine, a publié un article sur le compte public officiel WeChat de l'OIM, louant vivement les efforts du gouvernement chinois dans l'intégration des besoins des populations immigrantes dans le mécanisme national de réponse pour la santé publique. Il a estimé que les actions chinoises présentaient une valeur de référence pour d'autres pays, et a appelé tous les pays à adopter des politiques inclusives, à approfondir la compréhension mutuelle, la solidarité et la coopération, et à contenir l'épidémie de manière responsable.
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